jeudi 26 janvier 2012

Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic (merci l'Europe), placé sous surveillance par l’Afssaps MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé

Selon le quotidien Le Parisien-Aujourd’hui en France, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) aurait placé sous surveillance le Tramadol,un anti-douleur qui remplace le Di-Antalvic depuis son retrait du marché en mars 2011. Ce dérivé de l’opium aurait des effets secondaires importants et présenterait un fort risque d’accoutumance.

Depuis le retrait du Di-Antalvic, la consommation de cet anti-douleur, utilisé contre le mal de dos et les douleurs articulaires et délivré uniquement sous ordonnance, ne cesserait de croître. Au nombre de ses effets secondaires : vomissements, troubles du sommeil, désorientation et « addiction importante d’une partie des patients », prévient Le Parisien dans son édition du mercredi 25 janvier.

En effet, ces effets addictifs entraînent parfois une consommation détournée de psychotrope chez certains patients dépendants. Son arrêt nécessite alors une période de sevrage. L’Afssaps recense en 2010 sept cas de suicide de toxicomanes au Tramadol.

« En deux ans, 35 % des huit millions d’utilisateurs réguliers du Di-Antalvic se sont reportés sur des traitements plus forts, comme le Tramadol. En 2011, plus de 12 millions de boîtes ont été distribuées, soit une hausse de 30% », indique ce matin Europe 1.

La molécule de Tramadol est présente en France dans le générique du même nom et dans une vingtaine de médicaments, notamment le Tropalgic, le Contramal ou Ixprim.

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mercredi 25 janvier 2012

Le Tramadol, remplaçant du Di-Antalvic, placé sous surveillance par l’Afssaps : connerie de l'Europe (encore)

Selon le quotidien Le Parisien-Aujourd’hui en France, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) aurait placé sous surveillance le Tramadol,un anti-douleur qui remplace le Di-Antalvic depuis son retrait du marché en mars 2011. Ce dérivé de l’opium aurait des effets secondaires importants et présenterait un fort risque d’accoutumance.

Depuis le retrait du Di-Antalvic, la consommation de cet anti-douleur, utilisé contre le mal de dos et les douleurs articulaires et délivré uniquement sous ordonnance, ne cesserait de croître. Au nombre de ses effets secondaires : vomissements, troubles du sommeil, désorientation et « addiction importante d’une partie des patients », prévient Le Parisien dans son édition du mercredi 25 janvier.

En effet, ces effets addictifs entraînent parfois une consommation détournée de psychotrope chez certains patients dépendants. Son arrêt nécessite alors une période de sevrage. L’Afssaps recense en 2010 sept cas de suicide de toxicomanes au Tramadol.

« En deux ans, 35 % des huit millions d’utilisateurs réguliers du Di-Antalvic se sont reportés sur des traitements plus forts, comme le Tramadol. En 2011, plus de 12 millions de boîtes ont été distribuées, soit une hausse de 30% », indique ce matin Europe 1.

La molécule de Tramadol est présente en France dans le générique du même nom et dans une vingtaine de médicaments, notamment le Tropalgic, le Contramal ou Ixprim.

LA faute a qui si le Di-antalvic a été supprimé ?

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mardi 24 janvier 2012

Le baclofène : un médicament pour soigner l’alcoolisme ?

Et si un simple médicament pouvait définitivement régler les problèmes d’alcoolisme ? Olivier Ameisen, professeur de cardiologie à l’université de l’Etat de New York et auteur du best-seller Le Dernier verre, avance que cela est possible grâce au baclofène, un relaxant musculaire habituellement utilisé pour traiter des pathologies neurologiques. Et s’il en est si sûr, c’est tout simplement parce que ce médicament lui aurait permis de soigner sa propre addiction à l’alcool. D’autres personnes alcooliques auraient déjà testé la formule avec la même réussite. Le médicament agit selon le médecin directement sur le cerveau pour bloquer la dopamine, une substance chimique servant de neurotransmetteur au même titre que l’adrénaline par exemple et qui est à l’origine de l’addiction. Le baclofène présenterait l’énorme avantage de soigner l’alcoolisme sans fournier aucun effort car elle permettrait au patient de ne plus avoir envie de boire.

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mardi 17 janvier 2012

Forte augmentation aux Etats Unis du nombre de jeunes adultes déclarant ne jamais avoir expérimenté de relation sexuelle | Pharmactua

Forte augmentation aux Etats Unis du nombre de jeunes adultes déclarant ne jamais avoir expérimenté de relation sexuelle. Dans une large étude menée par le Centre de contrôle et de prévention des maladies, le taux d’adolescents et de jeunes adultes dont l’âge est compris entre 15 et 24 ans déclarant ne jamais avoir connu une relation sexuelle est passé de 22 % à 28 % en 10ans. L’étude menée par le département de la santé des Etats-Unis a porté sur 5300 personnes a aussi montré que 27 % des jeunes adultes masculins et 28 % des jeunes femmes situés dans la tranche d’âge de 15 à 24 ans n’ont pas connu de rapport sexuel. Les résultats de cette étude coïncident avec une baisse du nombre de femmes adolescentes enceintes. Par A Bless d’après The US Centers for Disease Control and Prevention et une analyse Pharmactua

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jeudi 12 janvier 2012

Mâcher du chewing-gum rendrait plus intelligent ! - Arronax sur LePost.fr (09:58)

A quoi cela est-il dû ?

Ce n'est pas dans la composition de la gomme qu'il faut trouver une explication.
En fait, la mastication produirait un afflux de sang vers la tête et donc le cerveau, améliorant ainsi les capacités de celui-ci.

L’apport de sang supplémentaire déclenché par ce petit effort physique mettrait le cerveau en marche, explique Futura-sciences.

Par contre, le fait de mâcher pendant le test n'a pas montré beaucoup d'effet... Ce qui voudrait dire qu'on est quand même assez "limité" : "On ne pourrait pas mâcher et penser de manière efficace en même temps ! Ceci étant vrai pour pas mal d'autres activités, d'ailleurs !"

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lundi 9 janvier 2012

Le déclin cognitif apparaîtrait dès 45 ans MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé

Jusqu’à présent, il était généralement admis qu’il n’y avait pas de déclin cognitif avant 60 ans. Dans une étude publiée dans le British Medical Journal, une équipe de recherche de l’Inserm montre que notre mémoire, notre capacité à raisonner et à comprendre commencent à décliner dès l’âge de 45 ans. Cette étude issue de la cohorte Whitehall II a été menée sur plus de 7000 personnes pendant 10 ans.

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