mercredi 29 février 2012

Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé - LeMonde.fr

Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les "élites" et le "peuple", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. C'est-à-dire, exprimé de manière un peu plus directe, que plus vous êtes riche, plus vous êtes susceptible de vous comporter de manière moralement lamentable.

L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments. Les chercheurs ont mené pas moins de sept protocoles expérimentaux différents, qui concluent tous dans le même sens.

On s'est parcequ'on n'a pas de morale qu'on peut être riche !

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Un médicament générique « n'est pas la copie conforme » du médicament

Un médicament générique « n'est pas la copie conforme » du médicament original, souligne l'Académie nationale de médecine dans un rapport récent, appelant à plusieurs mesures de précaution pour leur utilisation... Le rapport émane du professeur Charles Joël Menkès, rhumatologue et ancien membre de la Commission d'autorisation de mise sur le marché (AMM). Un générique contient le même principe actif, mais les autres substances entrant dans sa composition (les excipients) peuvent être différents. Les académiciens ne s'opposent pas à l'utilisation des génériques, moins chers que les médicaments originaux, mais recommandent une série de mesures de prudence.

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lundi 27 février 2012

Classement mondial de la productivité sur 5 ans de la recherche et du développement clinique des 12 principaux groupes pharmaceutiques. | Pharmactua

Pourquoi la France est malade de ses hôpitaux

T u as combien de lits dans ton service ? » « Soixante, et toi ? » « Je n'en ai plus que trente. On m'a obligé à réduire la voilure. » « A ta place, je n'aurais jamais accepté. Si on me le demande, j'ameute la presse locale et je menace de me mettre en grève. » Ce dialogue à peine imaginaire entre deux chefs de service résume la situation de la médecine hospitalière dans l'Hexagone. La France compte près de 8.000 salles d'opération qui réalisent en moyenne 1,5 intervention par jour. Cette donnée brute cache d'énormes disparités. Certaines unités ne désemplissent pas, alors que d'autres réalisent à peine une opération par semaine. Pour le président de l'Ecole européenne de chirurgie, Guy Vallancien, le maintien en activité de ces structures sous-utilisées est un « gâchis considérable » . En fait, c'est une double aberration économique et sanitaire. On entretient à grands frais des services sous-performants et peu fréquentés pour maintenir une illusion de proximité de soins à laquelle les Français sont très attachés. Localement, la fermeture d'un service de chirurgie dans un hôpital général est vécue comme un déclassement, voire une régression sociale, alors que c'est souvent une sage décision destinée à améliorer le niveau moyen des soins.

Dans le domaine de la santé, le rationnel et l'irrationnel font souvent bon ménage et la mesure de l'excellence est un exercice plein d'embûches. Une enquête récente (1) montre que les Français ont une perception très contradictoire de l'organisation hexagonale. Près de 70 % d'entre eux estiment que la « qualité des soins est au meilleur niveau mondial et qu'ils ont accès sans problème aux technologies de pointe ». En revanche, 40 % d'entre eux jugent que « la qualité s'est détériorée au cours des cinq dernières années ». Paradoxalement, ceux qui portent le jugement le plus sévère sur l'hôpital sont ceux qui y vont le moins : les générations X et Y. Parmi les récriminations les plus fréquentes figurent les files d'attente. Tous ceux qui ont passé une nuit aux urgences ne peuvent qu'être d'accord avec ce cri du coeur unanime : « On manque de tout. » En fait les services d'urgence sont embolisés par 30 à 40 % de patients qui ne devraient pas y être. 

Contrairement à un stéréotype, les effectifs dans les hôpitaux français n'ont cessé de progresser à un rythme soutenu : un millier de praticiens supplémentaires par an depuis trente ans et deux fois plus de postes d'infirmières créés (70.000 en quinze ans). « L'offre de soins est pléthorique et notre système est le plus onéreux d'Europe parce qu'on hospitalise trop », rappelle régulièrement l'économiste de la santé Jean de Kervasdoué. Mais rien n'y fait, deux Français sur trois sont persuadés que « le recrutement de médecins est une priorité pour les hôpitaux publics ».

Dans la vraie vie, la majorité des Français fait bien la différence entre proximité et expertise. Tant que faire se peut, ils évitent de mettre les pieds dans ces salles d'opération intermittentes, tout en s'opposant à leur fermeture. Ces « taux de fuite » en faveur des grands centres sont bien connus. Ils sont renforcés par les classements publiés par les hebdomadaires. Tout serait encore plus transparent si la CNAM, qui dispose d'une montagne de données « confidentielles », osait publier les vrais chiffres : les taux de complications postopératoires de ces petits blocs « sympathiques et si proches de chez nous » atteignent parfois les 50 %. 

Les médecins hospitaliers jouent sur cette peur de la déqualification et de la désertification qui angoisse surtout les citoyens du monde rural pour défendre leur pré carré. Ils jouent sur du velours en agitant deux chiffons rouges qui font mouche à tous les coups : « Halte à la marchandisation de la santé » et « Non à l'hôpital entreprise ». En fait, la médecine hospitalière connaît une série de révolutions : l'explosion des savoirs, l'hyperspécialisation des disciplines, le poids croissant des technologies et de la biologie dans le diagnostic et le suivi des patients, le démarrage poussif de la télémédecine et les premiers pas de la réalité augmentée. Sans compter le développement inexorable des soins ambulatoires, qui relègue aux oubliettes le syndrome du « t'as combien de lits ? » . « Autrefois une opération de la cataracte demandait une hospitalisation de neuf jours. Aujourd'hui, cela se passe en trois heures », rappelle la directrice générale de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Mireille Faugère. La France est la lanterne rouge européenne de cette chirurgie rapide et moins coûteuse. Seulement 38 % des opérations bénéficient de ce traitement contre 50 % chez nos proches voisins.  

Les médecins français sont aussi viscéralement opposés à la délégation des tâches à des infirmières, une pratique courante dans de nombreux pays. Ces « superinfirmières » de niveau master pourraient prendre en charge certains actes médicaux comme les endoscopies, qui se sont considérablement simplifiées avec l'arrivée de matériel performant. « Près de 90 % des actes médicaux sont normalisés. Ils peuvent être confiés sans danger à des infirmières bien formées. Le vrai savoir du médecin est dans sa capacité à transgresser les règles en cas de situation d'urgence », assure l'iconoclaste Guy Vallancien, qui prédit l'arrivée prochaine d'ingénieurs et de techniciens opérateurs dans les salles d'opération. Dans ce contexte, Mireille Faugère prévoit une réduction supplémentaire de 30 à 40 % des lits ne relevant pas des urgences. Pour assurer la transition, l'AP-HP a mis en place une formation facultative destinée à ces « médecins managers » du XXI e siècle. La moitié des 128 chefs de pôle de l'institution parisienne ont accepté de suivre ce cursus censé les familiariser avec les contraintes médico-économiques de la santé de demain.

 

(1) « Les Français et leur santé », étude Deloitte, janvier 2012.Alain Perez est éditorialiste aux « Echos »

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samedi 25 février 2012

Un vaccin contre l'addiction à l'héroïne?

Des chercheurs mexicains de l’Institut National de Psychiatrie sont en train de développer un vaccin qui permettrait de diminuer la dépendance à l’héroïne, rapporte le Guardian. Le vaccin, breveté aux États-Unis, rendrait l'organisme insensible aux effets agréables de cette drogue. Déjà testée avec succès sur des souris, la formule doit désormais être essayée sur des êtres humains.

Plusieurs équipes dans le monde cherchent des solutions semblables à l’addiction aux drogues. Un laboratoire américain du US National Institute on Drug Abuse est notamment en train de développer un vaccin contre la dépendance à la cocaïne.

Selon le gouvernement mexicain, 450.000 personnes seraient dépendantes aux drogues dans le pays. Le pavot est cultivé dans les montagnes de la Sierra Madre puis transformé en Black Tar et en Mexican Mud, deux formes d’héroïne qui sont ensuite passées en contrebande par le Rio Grande. Depuis 2006, le cartel des drogues a assassiné plus de 47.000 personnes au Mexique.

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lundi 20 février 2012

Classement 2012 des 12 premiers médicaments les plus vendus dans le monde en chiffre d’affaires | Pharmactua

Ce classement mondial 2012 établit par Pharmactua Global Market Estimates, consolide les ventes mondiales  des douze plus importants médicaments vendus dans le monde et réalisées à fin 2011 sur la base des rapports annuels publiés.  / Tahor (atorvastatine) occupe la première place du classement mondial,  Co marketé dans le monde par Pfizer(US), Astellas, (Japon) et Almirall, (Espagne), traitement de l’hypercholestérolémie a réalisé un chiffre d’affaires mondial de 9,5 milliards de dollars en 2011. Lipitor/Tahor a perdu son brevet en novembre 2011 aux Etats-Unis.

En deuxième position mondial, Plavix, (clopidogrel), antiagrégant plaquettaire, développé par Sanofi Aventis, (France) et comarketé avec Bristol Myers Squibb, (Etats Unis), a atteint des ventes mondiales de 9 milliards de dollars en 2011. Plavix perd son brevet aux Etats Unis en 2012 ou le produit a réalisé un chiffre d’affaires de 7 milliards de dollars.

Remicade, (infliximab), traitement indiqué dans la polyarthrite rhumatoïde Co marketé par Johnson & Johnson, Merck & Co, Mitsubishi(Japon) et Tanabe(Japon), arrive en troisième place avec des ventes mondiales de 8,09 milliards de dollars en 2011. Le groupe Johnson & Johnson ayant réalisé 5,49 milliards de dollars de ventes sur et Merck 2,6 milliards de dollars en 2011

Advair/Seretide, (fluticasone propionate et salmétérol), traitement de l’asthme de GlaxoSmithKline arrive en quatrième position avec des ventes mondiales de 8 milliards de dollars réalisées en 2011.

 Humira, (adalimumab), traitement indiqué dans l’arthrite rhumatoïde des laboratoires Abbott Pharmaceuticals  atteint la cinquième position  avec 7,9 milliards de dollars de ventes en 2011.

 L’anticorps monoclonal , (etanercept), indiqué pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde comarketé par Pfizer et Amgen arrive en sixième position mondiales avec 7,3 milliards de dollars de ventes mondiales.

 La statine , (rosuvastatine) du groupe Astra Zeneca prend la septième place du classement en 2012 avec 6,6 milliards de dollars de ventes mondiales.

 En huitième position, Mabthéra/Rituxan, (rituximab), anticorps monoclonal indiqué pour le traitement des lymphomes non Hodgkiniens et la polyarthrite rhumatoïde Co marketé dans le monde par Roche/Genentech a atteint des ventes mondiales de 6,48 milliards de dollars en 2011, en progression de 8 %.

 Avastin (bevacizumab) de Roche, un anticorps monoclonal humanisé, indiqué pour le cancer colorectal métastasique, cancer du sein métastasique et le cancer bronchique non à petites cellules arrive en neuvième position avec des ventes mondiales de 5,71 milliards de dollars de ventes en 2011.

 Le traitement de l’asthme Singulair, (montelukast) de Merck & Co prend la dixième place du classement mondial avec 5,7 milliards de dollars de ventes  en 2011 devant l’antihypertenseur ,(valsartan) de Novartis qui a réalisé 5,6 milliards de dollars en 2011 L’antidiabétique de Sanofi prend la douzième place avec 5,18 milliards de dollars de  ventes mondiales en 2011

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lundi 13 février 2012

Ce terrorisme intellectuel qui veut interdire la défense de l'homme occidental | Atlantico

Parmi les scories reprochés, en vrac, à l’homme blanc d’Occident arrivent dans le tiercé gagnant, les Croisades… Claude Lévi-Strauss, mobilisé cette semaine par tous les cuistres, avait su pourtant dire, sans mépris, ses vérités à la civilisation islamique en rappelant que les concepts de Croisade et de guerre sainte, tant reprochés aujourd’hui à l’Occident, ne sont en réalité que des répliques au Djihad islamique. Dans Tristes Tropiques (1955), Lévi-Strauss explique ainsi sa théorie de l’imitation : « Que l’Occident remonte aux sources de son déchirement : en s’interposant entre le bouddhisme et le christianisme, l’islam nous a islamisés, quand l’Occident s’est laissé entraîner par les croisades à s’opposer à lui et donc à lui ressembler. »

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Comment la kalachnikov a changé le monde | Slate

A la fin de l’année 1945, l’armée soviétique organise un concours interne particulièrement stressant. Joseph Staline veut un nouveau fusil et le leader soviétique charge ses militaires de sélectionner le meilleur design. Ancien conducteur de char de combat, sous-scolarisé et employé dans un laboratoire de recherche spécialisé dans les armements secrets situé dans la périphérie de Moscou, le sergent Mikhaïl Timofeïevitch Kalachnikov se lance dans la course.

Il trace les contours d’un fusil d’assaut révolutionnaire: il ferait feu en automatique et au coup par coup, n’aurait que peu de recul, serait facile à entretenir et serait muni d’un chargeur en forme de banane. Il remporte le concours. Deux ans plus tard, les prototypes du nouveau fusil qui sortent des usines portent son nom: Avtomat Kalachnikov, mieux connu aujourd’hui sous le nom d’AK-47.

L’arme la plus mortelle des temps modernes

La kalachnikov devait devenir l’arme la plus mortelle des temps modernes. Pendant les années 1990, les armes de petit calibre étaient les plus utilisées dans 46 des 49 conflits majeurs recensés par les Nations Unies. Selon certaines estimations, il existerait 100 millions de kalachnikovs dans le monde, soit un AK-47 pour 70 êtres humains.

C’est l’arme de prédilection de dizaines d’armées nationales; les guerriers talibans et les enfants soldats d’Afrique en font également usage. Depuis 1947, une myriade de modèles inspirés de l’original ont vu le jour. Auteur du livre The Gun, un ouvrage fascinant qui retrace l’essor de la kalachnikov (et, ce faisant, brosse un passionnant portrait des conflits du XXe siècle, tout en nous mettant sur la piste d’un possible successeur de l’AK-47 pour le XXIe), le journaliste au New York Times et lauréat du prix Pulitzer C.J. Chivers souligne qu’il ne s’agit pas toujours d’AK-47, mais qu’on peut tous les qualifier de kalachnikovs.

Mais la kalachnikov est plus qu’une arme à feu. Elle est devenue le symbole de l’anti-américanisme dans la pop culture. Elle apparaît sur des drapeaux nationaux, sur des bannières de partis politiques et sur des vidéos de propagande djihadistes. Et elle demeure le plus connu des produits russes d’exportation.

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La vitamine D, nouvel enjeu de santé publique

Avec les maillots de bain, shorts et autres robes légères, l'été devrait être le meilleur moment pour faire le plein de vitamine D. Essentielle pour la consolidation des os et des dents, elle est fabriquée par notre peau sous l'action des rayons ultraviolets B (UV-B) du soleil Toutefois, en raison de leur pouvoir cancérigène, en particulier en été, nous devons aussi nous protéger de ces rayonnements (avec de la crème solaire par exemple), ce qui nous empêche alors de synthétiser la vitamine D. Puis nous retournons nous enfermer dans des bureaux le reste de l'année. Résultat : des études épidémiologiques récentes montrent que la population française, toutes catégories confondues, souffre d'un déficit en vitamine D. Les enfants, les adolescents, les femmes enceintes et les seniors sont les plus touchés. Mais aussi les peaux très pigmentées, car elles synthétisent également moins bien la vitamine D.

Les dangers d'un déficit 

« C'est un véritable problème de santé publique , explique Marie Courbebaisse, néphrologue à l'hôpital Tenon, à Paris, et coauteur de nombreuses études sur le sujet. Car, au-delà des problèmes osseux, (rachitisme chez l'enfant, déminéralisation osseuse chez l'adulte), on s'est aperçu ces dernières années qu'une déficience en vitamine D peut aussi être impliquée dans d'autres pathologies graves. » Des chercheurs ont mis en évidence les effets potentiellement bénéfiques de la vitamine D « sur le cancer, l'immunité, le risque cardio-vasculaire et les diabètes de type 1 et 2 notamment » , indique ainsi Marie Courbebaisse.

Signe de cette effervescence, le nombre de publications scientifiques s'intéressant à ces effets a été multiplié par trois entre 1985 et 2007. Même si on ne sait pas encore avec certitude si l'insuffisance en vitamine D participe activement au développement de ces pathologies ou si elle est simplement un indicateur de mauvaise santé.

En attendant d'en savoir plus, les spécialistes considèrent qu'il faut supplémenter les personnes déficientes, ne serait-ce que pour favoriser la croissance osseuse. Mais à quelle dose ? On considère en général qu'il y a insuffisance en vitamine D quand la concentration dans le sang d'une molécule, la 25OHD (25-hydroxyvitamine D) est inférieure à 30 ng/ml. En dessous de ce seuil, on observe une diminution de l'absorption du calcium lors de la digestion. D'autres études estiment ce seuil à 20 ng/ml. Des divergences qui ne sont pas sans conséquences : dans le premier cas, 80 % de la population française serait déficiente, dans le second, le chiffre tombe à 40 %. 

Quoi qu'il en soit, plusieurs pays ont déjà introduit des suppléments dans des aliments courants tels que la farine, les céréales et le lait, car la vitamine D naturelle est rare dans nos régimes alimentaires - elle est principalement présente dans les poissons gras et l'huile de foie de morue. Ces ajouts sont autorisés en France depuis 2001, mais seuls quelques rares produits laitiers sont concernés. « Ce n'est pas suffisant , explique Laure Esterle, chercheuse au Centre de référence des maladies rares du métabolisme du calcium et du phosphore. Comme la population ne consomme pas assez de ces aliments, à peine 20 % des apports en vitamine D sont fournis par la nourriture, le reste provenant de l'exposition au soleil. »

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vendredi 10 février 2012

Logements inoccupés : la mairie PS de Lyon fait embarquer les SDF ?

Une quarantaine de personnes sont en pleine réquisition au 222 cours Lafayette. L’action fait suite à l’appel au rassemblement de Demeurant Partout ce matin cours Lafayette devant les locaux abandonnés de l’OPAC.

MaJ 17h10 : 8 personnes ont été arrêtées, l’action prend fin suite à l’expulsion, probable rassemblement de soutien dans la soirée, plus d’informations à suivre sur rebellyon.info. Les arrêtés ont été embarqués au commissariat place Bahadourian.

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mercredi 8 février 2012

Le Royaume-Uni dans l’Union Européenne : le début de la fin ? - La Vie des idées

La crise des dettes souveraines dans la zone euro a cristallisé entre Londres et ses partenaires de l’UE un conflit enraciné dans l’ambivalence britannique à l’égard du continent. Pressé par les conservateurs les plus eurosceptiques de prendre des mesures radicales, David Cameron pourrait être tenté de faire appel à l’opinion, avec des conséquences négatives pour tous.

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