dimanche 31 octobre 2010

PharmaGossip: Does this ring any bells in Big Pharma?

samedi 30 octobre 2010

Relation entre les sodas et le diabète de type 2

Nutrition, diététique

Une étude américaine a trouvé que la consommation régulière de boissons sucrées accroît les risques de

syndrome métabolique

et du diabète de type 2. Les chercheurs recommandent donc de limiter au maximum ces boissons afin de réduire l'éventuelle apparition de ces conditions. Des études antérieures avaient déjà commencé à établir cette relation, mais cette

dernière étude

fait le bilan global sur plus de 300 000 participants et a estimé les valeurs de risques. Dans de nombreux pays, dont les États-Unis, la consommation de boissons sucrées s'est accrue et cela inquiète fortement.

Ainsi, boire une ou deux boissons sucrées par jour accroît le risque de diabète de type 2 de 26 % et celui du syndrome métabolique de 20 % par rapport à ceux qui ne buvaient qu'une boisson sucrée par mois au maximum. Cela incorpore la prise de poids.

Posted via email from hypha's posterous

mercredi 27 octobre 2010

Les publicités pour produits de beauté abaissent l'estime de soi

Psychologie et Sociologie

Une des forces des publicitaires est la capacité d'arriver à transformer des objets assez banals en produits fortement désirables. Des chercheurs hollandais ont travaillé sur le thème des publicités. Dans une publicité par exemple, un rouge à lèvres se présentait à côté d'un haut talon qui représente le glamour ; dans une autre bien classique, un bidon d'adoucissant se trouvait à côté d'un ours en peluche qui représente la douceur. Ils ont réalisé différentes

expériences

auprès de femmes. Après exposition à un produit de beauté, les consommatrices sont plus susceptibles de penser à elles-mêmes que si elles avaient vu les mêmes produits en dehors de leur contexte publicitaire.

Les publicités pour les produits de beauté semblent faire en sorte que le consommateur ait l'impression que leur niveau propre de beauté diffère de la réalité. Les gens se comparent aux images liées au produit de la publicité même si les images ne montrent pas de modèles humains. Ces images de produits baissent l'évaluation de soi de la même manière qu'un top modèle.

Posted via email from hypha's posterous

Carton jaune : Opérer tout en regardant un match de foot n’est pas admis

Opérer tout en regardant un match de foot n’est pas admis dans les hôpitaux valaisans, a rappelé le Centre hospitalier du centre du Valais à l’un de ses chirurgiens. Le directeur de l’établissement, Vincent Castagna, a convoqué le praticien fautif pour une “sérieuse mise au point”. Il tient toutefois à préciser qu’il n’y a pas de télévision en salle d’opération : le match était diffusé sur un ordinateur, rapporte RSR.ch

Posted via email from hypha's posterous

mardi 26 octobre 2010

Danger des LED : nos mesures, ce que dit vraiment le rapport. Calme !

Danger des LED : nos mesures, ce que dit vraiment le rapport. Calme !

L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES) a tiré la sonnette d'alarme sur les lampes à LED. Gare aux interprétations rapides. Beaucoup de fausses idées se sont brutalement propagées sur le réseau et sur les ondes ! Les lampes LED destinées au grand public ne présentent aucun danger mesuré. C'est écrit noir sur blanc dans le rapport.

Comme d'habitude les journalistes télé n'ont rien compris et racontent n'importent quoi! quelle bande d'abrutis

Posted via email from hypha's posterous

Injections de cortisone et tendons

Médecine

Il est fréquent de réaliser des

injections de cortisone

chez les personnes qui souffrent de problèmes douloureux aux tendons, comme le fameux tennis elbow. Il s'avère que l'injection de cortisone serait plus néfaste que bénéfique. Le spécialiste qui a découvert cela veut mettre en garde les praticiens : il existe de meilleurs traitements disponibles.

La majorité (70-90 %) des personnes qui attendent pour voir finissent par guérir tout seules au bout de 6 à 12 mois. Ce n'est pas le cas après une injection de cortisone. Les médecins doivent être mis au courant que si ces injections produisent des effets positifs immédiats, ces derniers restent valables que sur le court terme et il existe un fort risque de récurrence du problème et de mauvais résultats comparés à la politique du « wait and see » (attendre et voir). Les problèmes de tendinites affectent les jeunes gens et les personnes d'âge moyen qui sont actifs. Ils sont difficiles à traiter. La condition est plus susceptible de revenir après les injections plutôt que par un essai d'exercices physiques bien guidés, mais qui mettent deux à trois mois pour agir. Dans tous les cas de traitement, un exercice sur le long terme semble nécessaire.

Posted via email from hypha's posterous

Les malades pourront consulter un médecin par Internet

lundi 25 octobre 2010

L’énoxaparine et les biosimilaires font décoller les revenus de Sandoz

On comprend l’intérêt de Pfizer (lire notre post précédent) pour les biosimilaires. Le leader Sandoz, filiale du suisse Novartis, commence à recueillir les fruits de son statut de pionnier. Au 3e trimestre, les ventes de Sandoz ont progressé de 23 %, à 2,2 Md$, notamment grâce aux excellents résultats américains de l’énoxaparine, la première version générique de l’antithrombotique Lovenox de Sanofi-Aventis qui, avec 292 M$ facturés entre début juillet et fin septembre, a surpassé tous les produits injectables lancés récemment aux USA.
Depuis le début de l’année, les biosimilaires des traitements de l’anémie Binocrit (époétine-alfa) et Zarzio (filgrastime) ont fortement contribué à tirer la croissance de Sandoz. Quant à l’Omnitrope, il « n’a cessé de gagner du terrain face aux traitements originaux du déficit de l’hormone de croissance », souligne Novartis dans la présentation de ses résultats trimestriels.
Rappelons que le marché des médicaments biotechnologiques dont les brevets vont tomber dans le domaine public d’ici à 2015 représente un CA annuel de 75 Md$.

Posted via email from hypha's posterous

Allemagne • Le pays où “Big Pharma” fait la loi | Courrier international

Une aspirine vaut en effet 2 centimes d’euro au Royaume-Uni, 14 en République tchèque et 20 en Allemagne.
Des médicaments tels que la pilule contraceptive Yasmin, produit par l'allemand Bayer pour plus de 100 pays dans le monde, coûte si cher en Allemagne que le marché de réimportation de Yasmin à travers le Portugal se porte à merveille.

D'après l'OCDE, les Allemands dépensent 20% de plus que la moyenne des pays riches pour les médicaments. Il y deux raisons à cela : en raison de sa taille, l’Allemagne constitue le marché de référence sur lequel les autres pays basent leur prix – souvent plus bas, explique à l'hebdomadaire une lobbyiste. […] lire la suite sur presseurop.eu


Posted via email from hypha's posterous

La consommation de magnésium pourrait participer à prévenir l’apparition du diabète

54118261-0509402513

La consommation de pourrait participer à prévenir l’apparition du diabète. Dans une étude portant sur près de 5000 personnes, des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord aux Etats Unis ont mis en évidence un lien entre le taux de consommation de et le risque d’être atteint de diabète. Les chercheurs ont étudié 4497 personnes âgées de 18 à 30 ans ne présentant pas de diabète au début de l’étude.  Après un suivi sur 20 ans, 330 personnes ont été touchés par le diabète.

 Les personnes prenant en moyenne 200 mg de pour 1000 calories consommés ont été 47 % moins exposées au diabète que ceux consommant 100 mg et moins pour 1000 calories ingérés. Certains marqueurs de l’inflammation ainsi que la résistance à l’action de l’insuline ont baissé en fonction des taux de consommés.

 Les chercheurs dirigés par le Dr Ka He émettent l’hypothèse sur l’action du sur le fonctionnement de certains enzymes impliqués dans la métabolisation du glucose. Par A Bless d’après Diabetes Care et une analyse Pharmactua

Mots-clefs : ,

Posted via email from hypha's posterous

Le « Flop » du vaccin contre la grippe saisonnière

Publié le Lundi 25 octobre 2010

Selon les chiffres que s’est procurés Europe 1, seulement 40% des patients à risque – les personnes âgées, les femmes enceintes, les enfants, et les personnes fragiles – ont déjà été vaccinés contre 80% habituellement à la même période de l’année. La raison : la méfiance du public vis-à-vis de la grippe H1N1 dont la souche a été ajoutée cette année au vaccin contre la grippe saisonnière.

Interrogé par Europe 1, Bruno Lina, le directeur du centre national de référence de la grippe, souligne que « les patients sont devenus très méfiants. Ils ne croient plus en l’efficacité du vaccin et sont très réticents à se faire piquer. »  Parmi les idées reçues rencontrées par  les médecins en consultation,  « la dangerosité de la souche inactivée du H1N1 ».
Certains spécialistes avaient prévenu l’an dernier du risque de tenir un discours trop alarmiste face au virus H1N1. Aujourd’hui, les patients ont plus peur du vaccin que de la grippe elle même. Le problème, dit Bruno Lina, c’est que pour des personnes à risques; ne pas se vacciner peut être dangereux. Chaque année, rappelle-t-il, la grippe saisonnière tue 2.000 à 3.500 personnes.

 Source : Europe 1

Posted via email from hypha's posterous

dimanche 24 octobre 2010

La fellation, responsable d'une vague de cancers?

Les cancers de la cavité buccale augmentent nettement depuis une trentaine d'année en raison d'infection de papillomavirus transmis sexuellement lors de rapports bucco-génitaux, signe d'un changement des pratiques sexuelles, selon des travaux parus mercredi.

"Plusieurs recherches montrent un accroissement de la fréquence des cancers oropharyngés avec une proportion croissante de ces tumeurs résultant d'une infection de papillomavirus humains chez des sujets devenus sexuellement actifs très jeunes et ayant eu de multiples partenaires", écrivent les auteurs de cette recherche.

"Les causes possibles de cette augmentation font l'objet de nombreuses discussions mais les changements de pratiques sexuelles ces dernières décennies à savoir l'accroissement des relations bucco-génitales et du nombre de partenaires" paraissent être les principales raisons, soulignent-ils dans cette communication publiée par les Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Ils citent également une petite étude menée auprès d'étudiants américains selon laquelle "embrasser avec la langue" pourrait aussi être liée à ces cancers.

"Nous observons ainsi une lente épidémie de cancers de la voie buccale, aux Etats-Unis et dans des pays d'Europe du nord, provoqués par des papillomavirus transmis sexuellement", ajoutent-ils.

Ce constat a conduit le Centre international de recherche sur le cancer à reconnaître ces papillomavirus comme un facteur de risque des cancers oropharyngés en plus du tabagisme et de la consommation d'alcool, les causes traditionnelles.

Ces virus étaient jusqu'alors connus pour être responsables de la plupart des cas de cancer du col de l'utérus contre lequel il existe désormais deux vaccins efficaces chez les jeunes filles avant qu'elles ne deviennent sexuellement actives.

"La possibilité que nous soyons confrontés à une épidémie de cancers de la voie buccale résultant d'infections avec des papillomavirus exige toute l'attention", jugent le Dr Torbjörn Ramqvist, professeur au Karolinska Institutet en Suède, coauteur de cette étude.

Exemple de cette épidémie, à Stockholm, l'incidence de cancer de l'amydale résultant d'une infection de papillomavirus a été multipliée par sept en trente ans.

Les cancers oropharyngés provoqués par une telle infection représentent désormais le tiers des cancers de la cavité buccale diagnostiqués chaque année en Suède.

Si cette tendance se poursuit, ces tumeurs buccales transmises sexuellement compteront pour la moitié des cancers oropharyngés en Suède et probablement aussi aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas entre autres, estiment ces chercheurs.

Les différentes études analysées révèlent que le pronostic de survie est meilleure pour un cancer de la cavité buccale résultant d'une infection de papillomavirus que ceux provoqués par le tabac et l'alcool.

Les chances de survie pour les cancers oropharyngés sont de 25% cinq ans après le diagnostic.

Le cancer de l'amydale et de la base de la langue représentent 90% des cancers de la cavité buccale.

(source AFP)

Posted via email from hypha's posterous

mardi 19 octobre 2010

FDA approves Botox to treat chronic migraine

The U.S. Food and Drug Administration today approved Botox injection (onabotulinumtoxinA) to prevent headaches in adult patients with chronic migraine. Chronic migraine is defined as having a history of migraine and experiencing a headache on most days of the month.

“Chronic migraine is one of the most disabling forms of headache,” said Russell Katz, M.D., director of the Division of Neurology Products in the FDA’s Center for Drug Evaluation and Research. “Patients with chronic migraine experience a headache more than 14 days of the month. This condition can greatly affect family, work, and social life, so it is important to have a variety of effective treatment options available.”

Migraine headaches are described as an intense pulsing or throbbing pain in one area of the head. The headaches are often accompanied by nausea, vomiting, and sensitivity to light and sound. Migraine is three times more common in women than in men. Migraine usually begins with intermittent headache attacks 14 days or fewer each month (episodic migraine), but some patients go on to develop the more disabling chronic migraine.

To treat chronic migraines, Botox is given approximately every 12 weeks as multiple injections around the head and neck to try to dull future headache symptoms. Botox has not been shown to work for the treatment of migraine headaches that occur 14 days or less per month, or for other forms of headache. It is important that patients discuss with their physician whether Botox is appropriate for them.

The most common adverse reactions reported by patients being treated for chronic migraine were neck pain and headache.

OnabotulinumtoxinA, marketed as Botox and Botox Cosmetic, has a boxed warning that says the effects of the botulinum toxin may spread from the area of injection to other areas of the body, causing symptoms similar to those of botulism. Those symptoms include swallowing and breathing difficulties that can be life-threatening. There has not been a confirmed serious case of spread of toxin effect when Botox has been used at the recommended dose to treat chronic migraine, severe underarm sweating, blepharospasm, or strabismus, or when Botox Cosmetic has been used at the recommended dose to improve frown lines.
 

Botox is manufactured by Allergan Inc. of Irvine, Calif.
 

Posted via email from hypha's posterous

lundi 18 octobre 2010

Être parent, une bénédiction ? - Justine Canonne, article Psychologie

Être parent, le plus beau « cadeau » au monde ? La plupart des gens supposent qu’avoir des enfants les comblera de bonheur… Pourtant – et bien que cela puisse paraître contre-intuitif à première vue –, plusieurs études ont montré qu’être parent ne rendait pas forcément heureux. L’une des études les plus citées en ce domaine a été menée par le psychologue américano-israélien Daniel Kahneman, également expert en finance comportementale et récipiendaire du prix Nobel d’économie en 2002.

Posted via email from hypha's posterous

Le botox rend-il idiot ?

Sébastien Bohler

La toxine botulique, produite par la bactérie Clostridium botulinum, est une molécule paralysante et le plus puissant poison connu à ce jour. Elle est aussi utilisée depuis une vingtaine d'années dans le traitement des rides en injections locales à faible dose pour provoquer des paralysies musculaires ciblées de certains muscles du visage.

En paralysant les muscles faciaux, cette substance modifie les émotions que l'on peut ressentir, par exemple, en lisant un texte. David Havas et ses collègues de l'Université du Wisconsin ont injecté du botox à des jeunes femmes dans certains muscles du front où se forment les rides, mais qui servent aussi à exprimer des émotions négatives comme la tristesse ou la colère. Ils leur ont fait lire des textes suscitant des émotions négatives, et ont constaté qu'elles mettaient plus de temps à comprendre le sens des phrases. En outre, elles comprenaient entre cinq et dix pour cent de phrases en moins.

Cette expérience montre que les mouvements des muscles du visage servant à exprimer une émotion sont une aide pour identifier l'émotion correspondante, parce qu'on la reproduit de façon imperceptible. Des expériences d'imagerie cérébrale avaient déjà montré que l'injection de botox réduit l'activité de certaines zones du cerveau impliquées dans la perception des émotions, telles que l'amygdale cérébrale ou le cortex orbitofrontal.

Selon les zones du visage où est réalisée l'injection, la compréhension des émotions décrites dans un texte est différemment altérée. Si le muscle facial ciblé est le muscle corrugateur du front, la compréhension des émotions négatives sera altérée ; si l'injection est réalisée autour de la bouche, les émotions positives risquent d'être moins bien perçues. Le botox donne un visage plus lisse, mais aussi une lecture sans relief.

Posted via email from hypha's posterous

1%, 4%, 10% d'homosexuels en France... qui dit mieux? | Rue89

L'enquête CSF a invité les personnes interrogées à situer leur sexualité sur un gradient allant de l'hétérosexualité exclusive à l'homosexualité :

  • 4% des hommes comme des femmes déclarent avoir déjà eu des pratiques sexuelles avec un partenaire du même sexe.

Attention : ça ne fait pas 4% d'homosexuels dans la population, loin de là : beaucoup, par exemple, n'ont connu ces expériences que dans leur adolescence.

Dans le détail, en France :

  • 4,0% des femmes et 4,1% des hommes de 18 à 69 ans déclarent avoir déjà eu des pratiques sexuelles avec un partenaire du même sexe.
  • Parmi les personnes qui rapportent avoir déjà eu des pratiques homosexuelles, 13,4% des femmes et 12,4% des hommes ne rapportent de telles expériences qu'avant l'âge de 18 ans.
  • Seuls 0,3% des femmes et des hommes n'ont eu au cours de leur vie des pratiques sexuelles uniquement avec des personnes du même sexe.
  • 6,2% des femmes et 3,4% des hommes déclarent avoir ressenti de l'attirance pour une personne de même sexe
  • 1% des femmes et 1,6% des hommes ont eu une relation sexuelle avec une personne du même sexe au cours des douze derniers mois.
  • 0,5% des femmes et 1,1% des hommes se définissent comme homosexuels
  • 0,8% des femmes et 1,1% des hommes se disent bisexuels.

C'est vrai qu'à Paris, « dans le micro-milieu des bac+5, entre 40 et 50 ans, on trouve bien entre 10 à 15% d'homosexuels », se moque Nathalie Bajos (Inserm). Ce qui explique que ce taux tout rond continue de circuler comme une vérité révélée dans les rédactions, celle de Rue89 par exemple.

Car à Paris :

  • 6,0% des femmes et 7,5% des hommes habitant dans l'agglomération parisienne déclarent avoir déjà eu des pratiquessexuelles avec une personne de même sexe, contre respectivement 3,2% et 2,9% pour celles et ceux qui habitent dans des communes rurales.
  • Les pourcentages enregistrés dans l'agglomération parisienne atteignent leur maximum chez les femmes de 40-49 ans (8,1%) et chez les hommes de 35-39 ans (6,6%), et plus encore chez les Franciliens de ces âges qui déclarent un niveau d'étude supérieur à Bac+2 (11,4% et 14,6% respectivement), ce qui traduit en partie les parcours sociaux particuliers que doivent emprunter les personnes homo-bisexuelles pour vivre dans des environnements plus tolérants.

Posted via email from hypha's posterous

L'amour de l'argent - Keynes, "les Perspectives économiques pour nos petits-enfants" (1930)

L'amour de l'argent comme objet de possession, qu'il faut distinguer de l'amour de l'argent comme moyen de se procurer les plaisirs et les réalités de la vie, sera reconnu pour ce qu'il est : un état morbide plutôt répugnant, l'une de ces inclinations à demi criminelles et à demi pathologiques dont on confie le soin en frissonnant aux spécialistes des maladies mentales

Posted via email from hypha's posterous

Sanofi-aventis noue une collaboration de recherche avec l’Université Harvard

Sanofi-aventis noue une collaboration de recherche avec l’Université Harvard

Publié le Lundi 18 octobre 2010

Sanofi-aventis a annoncé aujourd’hui avoir noué une collaboration de recherche avec l’Université Harvard. Objectif : faire avancer les connaissances en santé humaine par la conduite de recherches fondamentales et appliquées, et promouvoir les échanges scientifiques entre l’Université Harvard et le groupe pharmaceutique français. Une collaboration axée sur la recherche biomédicale translationnelle dans plusieurs domaines thérapeutiques tels que le cancer, le diabète et les maladies inflammatoires.

La recherche académique Française n'attire pas vraiment les industriels : pourquoi ?

Posted via email from hypha's posterous

vendredi 15 octobre 2010

Un deuxième enfant ? Cela dépend... du premier !

Un deuxième enfant ? Cela dépend... du premier !

Sébastien Bohler

Qu'est-ce qui décide les parents à faire un deuxième enfant ? D'après le psychologue Markus Jokela, tout dépend du premier. Est-il tourné vers les autres, facile à vivre et intelligent ? On envisagera un deuxième. Est-il conflictuel, peu sociable et moyennement intelligent ? Les parents s'abstiennent. Seule surprise de l'étude : les parents hésitent aussi quand le premier marque une forte attirance pour la nouveauté (nouveaux amis, nouveaux jouets). Finalement, lorsque le premier enfant est facile, il y a de la place pour un deuxième. Mais un touche-à-tout asocial et rebelle ne donne pas envie de recommencer.

Posted via email from hypha's posterous

Pour la Science - Actualité - Défense chimique du territoire

Défense chimique du territoire Les récepteurs des hormones mâles augmenteraient dans le circuit du plaisir lorsqu'il faut défendre son territoire contre un rival. Sébastien Bohler

Posted via email from hypha's posterous

Fostering Respect And Innovation Communication Is Key - Top Twenty Employers Pharma compagnies

jeudi 14 octobre 2010

Du paracétamol contre la solitude

L'isolement et le rejet social causent une souffrance comparable a douleur physique, ce qu'ont montre nombreuses des de psychologie et d'imagerie cbrale. Partant de ce constat, des neurobiologistes de l'Universitu Kentucky ont di'effet du paracmol, un analgque bien connu, sur les sentiments de rejet social dans un groupe d'diants. Les diants devaient participer n jeu en ligne et certains pouvaient e exclus du jeu arbitrairement, ressentant alors une frustration li'isolement. Ceux qui avaient pris du paracmol eur insu avant la sce ont obtenu, dans des questionnaires d'luation de la souffrance morale, des scores infeurs eux des autres. Des mesures de leur activitbrale ont montru'une zone clans la perception de la douleur aussi bien physique que psychologique, le cortex cingulaire anteur, s'activait moins.

Ces observations confirment le lien oit qui existe entre la souffrance physique et morale, et l'existence de substrats neuronaux communs es deux types de souffrance. L'anesthe physique prnirait en partie contre les diffntes douleurs morales que nous pouvons rencontrer, ruptures, deuils, exclusion, abandon. Dans une certaine mesure seulement, car les effets constatsont limit

Posted via email from hypha's posterous

mercredi 13 octobre 2010

Rasoir d'Ockham

Le rasoir d’Occam ou rasoir d’Ockham est un principe de raisonnement que l'on attribue au frère franciscain et philosophe Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), mais qui était connu et formulé avant lui :

« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité » (« pluralitas non est ponenda sine necessitate »).

L'énoncé « Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem », littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits.

Une formulation plus moderne est que « les hypothèses les plus simples sont les plus vraisemblables ». C'est un des principes fondamentaux de la science.

Posted via email from hypha's posterous

Vers une fracture générationnelle - Xavier Molénat, article Sociologie

Pour la première fois depuis longtemps, les jeunes générations connaissent une entrée dans la vie adulte plus difficile que celle de leurs parents. Au-delà des inégalités socio-économiques, cela pose des problèmes concernant l’avenir du régime de protection sociale, fondé sur la solidarité entre générations.

Posted via email from hypha's posterous

lundi 11 octobre 2010

Premier patient traité avec des cellules souches embryonnaires humaines

Des médecins américains ont réalisé une première mondiale en traitant un patient avec des cellules souches embryonnaires humaines dans le cadre d'un essai clinique approuvé par les autorités, a annoncé, hier, la firme de biotechnologies Geron Corporation. L'objectif de ces injections est de régénérer des cellules nerveuses endommagées de la moelle épinière.

 

Tous droits réservés (2010) LES ECHOS

Posted via email from hypha's posterous

Les épidémies de grippe liées aux pics de rhumes chez l'enfant?

Antibiotiques : chronique d'un désastre annoncé

« Bombe à retardement », « situation précatastrophique »… La résistance aux antibiotiques suscite une inquiétude grandissante dans le milieu médical. En cause, la surconsommation, les médicaments génériques. Et surtout l'abandon de la recherche...11/10/10

Posted via email from hypha's posterous

dimanche 10 octobre 2010

L’égalité des chances : mythe ou réalité ? ou la génétique et l'acquis c'est vrai que pour les chiens

J'adore ce genre de statistique. Mais quand même, au final, la génétique ça compte pour du beurre. On ne peut pas imaginer que des parents intelligent donnent naissance à des enfants un peu plus intelligent et que donc au final c'est normal que les enfants de cadres sup soient cadre sup. Ensuite, l'acquis, à vivre dans un milieu quelconque on n'a plus de mal à imaginer le reste (ex: fils de comédien sont à presque 100% comédiens...etc...) alors de la à parler toujours d'égalité des chances ....

Posted via email from hypha's posterous

jeudi 7 octobre 2010

Sciences : Chimie : le Nobel attribué à un trio américano-japonais

Quand la résistance aux antibiotiques se développe même sans traitement

Dans un article publié dans la revue « PNAS », une équipe de chercheurs de l'Institut Pasteur spécialiste des bactéries montre pourquoi la résistance à la vancomycine, antibiotique de dernier recours dans les infections nosocomiales, s'est répandue très largement dans le monde...07/10/10


Skip to reply button for entry 6275.

Les gènes de résistance à la vancomycine, au nombre de 7 chez les entérocoques (une famille de bactéries, photo), sont portés par un élément génétique mobile, aisément transférable d'une bactérie à l'autre.

Ces gènes, quand ils sont activés, entraînent un profond remodelage de la paroi bactérienne qui confère à la bactérie un haut niveau de résistance à la vancomycine, mais présente un coût énergétique élevé, entraînant un ralentissement de sa croissance.

Or il apparaît qu'en l'absence d'antibiotiques, ce mécanisme peut être activé sans aucun coût énergétique, et donc sans pénaliser les bactéries résistantes, qui vont se multiplier et se répandre aussi vite que les bactéries non résistantes. Ce résultat vient donc relativiser le rôle des antibiotiques dans le développement de résistances chez les bactéries.

Posted via email from hypha's posterous

vendredi 1 octobre 2010

Globule et télescope » La science doit-elle être toujours suspecte ?

Les «Ig Nobel»: une récompense pour les études scientifiques décalées

SCIENCES - Les travaux les plus improbables sont sortis vainqueurs...

Quelques semaines avant la traditionnelle remise des Nobel, les «Ig Nobel» (qui se prononce en anglais comme «ignoble»), décernés depuis 1991, ont récompensé jeudi aux Etats-Unis des travaux pour le moins «décalés». Dix prix ont été remis dans diverses catégories au cours d'une cérémonie organisée à la prestigieuse université d'Harvard et diffusée sur le site vidéoYoutube. Et voici les principaux vainqueurs.

Prix de la Paix: Il est revenu à trois Britanniques ont démontré que jurer permettait de soulager la douleur.

Prix d’Economie: Il a été décerné ironiquement aux dirigeants de Goldman Sachs, AIG, Lehman Brothers et autres acteurs de la profonde crise financière américaine pour avoir inventé de «nouvelles manières d'investir de l'argent, permettant de maximiser les gains financiers et de minimiser les risques pour l'économie mondiale».

Prix du Management: Des chercheurs italiens l’ont reçu pour avoir «démontré mathématiquement que les organisations deviendraient plus efficaces si les promotions étaient attribuées de manière aléatoire».

Prix d'Ingénierie: Il est allé à une équipe anglo-mexicaine qui a inventé une nouvelle manière d'étudier les baleines en utilisant un hélicoptère radiocommandé pour capter la bave des grands cétacés.

Prix de la Physique: Il a été décerné à des chercheurs de l'université d'Otago, en Nouvelle-Zélande, dont les travaux ont établi que porter des chaussettes à l'extérieur de ses chaussures permettait de régler une bonne fois pour tous les problèmes de glissades sur chemins verglacés.

Prix de la Biologie: Une équipe sino-britannique est repartie avec pour avoir apporté la preuve que les chauves-souris pratiquent la fellation.

Prix de la Médecine: C’est une paire de scientifiques néerlandais qui l’a remporté pour avoir découvert qu'il était possible de soigner l'asthme en faisant un tour de montagnes russes.

Prix de la Santé: Il est revenu à des travaux américains montrant que les microbes pouvaient rester accrochés aux barbes.

C.C. avec AFP

Posted via email from hypha's posterous