mercredi 21 mars 2012

Accés à l’innovation thérapeutique: la France en retard au niveau Européen et Américain | Pharmactua

48 nouveaux médicaments ou associations de médicaments ont été autorisés en 2011 par la Food and Drug Administration (FDA) et 41 par l’Agence Européenne du Médicament (EMA), contre 20 en 2010 par chaque agence. « Ce chiffre est l’un des plus élevés de la dernière décennie », a constaté la FDA, lors de son bilan, publié le 3 novembre 2011. La plupart des autorisations concernent des thérapies ciblées qui s’affirment comme une tendance lourde de l’innovation thérapeutique du 21ème siècle. La plupart des nouveaux médicaments de 2011 représentent d’importantes avancées dans la prise en charge de maladies qui ne disposaient pas de traitements suffisamment efficaces comme le mélanome métastatique, l’hépatite C, le lupus (premier nouveau médicament en 50 ans), la maladie de Hodgkin (premier nouveau médicament en 30 ans) ou le cancer de la prostate.

Les progrès sont particulièrement sensibles dans le champ du mélanome métastatique où les malades disposent désormais de deux nouvelles thérapies ciblées, un inhibiteur enzymatique ciblant la mutation de la protéine BRAF et une immunothérapie ciblant un récepteur spécifique des lymphocytes T, leur permettant d’augmenter significativement leurs chances de survie.

L’autre progrès majeur de 2011 concerne l’hépatite C : les malades résistants aux bithérapies interféron et antiviral peuvent désormais bénéficier de trithérapies, associant de nouvelles molécules – les anti protéases – aux deux molécules déjà prescrites, qui permettent de guérir 75% des patients en échec thérapeutique.

Au vu de ces données internationales, les Entreprises du Médicament (Leem) déplorent que les évaluations des autorités françaises continuent de se détériorer. En effet, l’évaluation française de la Commission de Transparence de la Haute Autorité de santé (HAS) s’inscrit en décalage avec les évaluations américaines et européennes, puisqu’elle n’a accordé en 2011 que 23 ASMR , dont 1 seule ASMR 1, 5 ASMR 3 et 17 ASMR 4.

Autre sujet de préoccupation : la France est de moins en moins choisie dans les évaluations permettant l’accès au marché :

- par l’Agence européenne (EMA) comme rapporteur ou co-rapporteur dans les procédures centralisées (évaluation européenne unique pour les produits très innovants)

- par les industriels, comme pays de référence dans les procédures décentralisées (process d’évaluation coordonné entre les pays européens) avec 7% des dossiers d’AMM européennes revenant à la France en 2010 contre 14% en 2009,source le Leem, my Pharma

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vendredi 16 mars 2012

Nombre de cachets d'aspirine produits et consommés dans le monde

Consommation mondiale d'aspirine

 

L’aspirine est le médicament dont la production mondiale est la plus importante : elle atteint 40 000 tonnes par an. (80 milliards de comprimés)

 

 

En France et par an environ 321,2 millions d'unités d'aspirines sont absorbées.

 

 

 

L'aspirine est l'un des médicaments les plus consommés toutes catégories confondues.  

 

 

En France, une production de 1500 tonnes par an pour environ 321,2 millions d'unités d'aspirines est ainsi absorbée.

 

 

Le  paracétamol qui est l'antalgique le plus utilisé par les français avec 130 millions d'unités

 

 

Les concurrents directs de l’aspirine sont les anti-inflammatoires non stéroïdiens.

 

Histoire de l'aspirine

 

 

A l'époque d'Hypocrate  on utilisait des décoctions de feuille de saule, réputées pour leur vertus contre la fièvre et les douleurs.

 

Il fallut attendre le XIXe siècle, avec l’essor de la chimie d’extraction et de synthèse, pour découvrir et isoler le principe actif de l’écorce de saule. En 1825, l’amertume de l’écorce de saule était reconnu par Fontana comme étant due à la salicine. En 1828, à Munich, Büchner isolait quelques cristaux en aiguilles, de goût amer ; il avait préparé la salicine. En 1829, à Paris, Leroux améliorait le procédé d’extraction et obtenait une once (30 g) de salicine à partir de 3 livres (500 g) d’écorce de saule. Il démontra aussi son effet thérapeutique. En 1833, à Darmstadt, Merck trouvera un procédé d’extraction deux fois moins coûteux.

 

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mercredi 14 mars 2012

Cancers de l’enfant: découverte d’un nouveau type de sarcome osseux - MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé

Une équipe de l’Institut Curie et de l’Inserm dirigée par le Dr Olivier Delattre vient de découvrir l’existence d’une nouvelle forme de sarcome osseux s’exprimant principalement chez des adolescents et de jeunes adultes. Bien que présentant des similarités avec la tumeur d’Ewing sur le plan clinique, ce sarcome s’en distingue par la présence d’une anomalie chromosomique différente à l’origine du cancer. Ces nouvelles données, publiées online par la revue Nature Genetics le 4 mars, pourraient permettre une meilleure prise en charge des malades.

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mardi 13 mars 2012

Caffeine

caffeine synthesis traube  This blog is not going to actually read Caffeine in your drink: natural or synthetic? by Lijun Zhang et al. (DOI). They imagine health issues with bad synthetic versus good natural caffeine and came up with a crazy over-the-top analytical tool ( high-temperature reversed-phase liquid chromatography / isotope ratio mass spectrometry if you need to know) to detect synthetic caffeine. According to Rajendrani Mukhopadhyay in C&EN it is against the law in some countries to replace natural with synthetic without mentioning it on the label.
And what is so bad about this synthetic caffeine anyway. Compared to sourcing from coffee beans it is cheaper to manufacture, does not involve slave labour, is eco-friendly, does not require pesticides and quality control is easier.
But how is synthetic caffeine made? Wikipedia for some reason denies it exists. Thanks to a Ruhr University Bochum lab handout we have a clue. One method was invented by Wilhelm Traube already in 1900. Starting materials are dimethylurea and cyanoacetic acid. Reaction steps are acylation, then ring-closing with a Pinner reaction variation, then nitrosation (nitric acid), then reduction (sodium dithionite), then another ring-closing with formamide to theophylline and finally alkylation with iodomethane and a base. Modern industrial methods are adaptations. So remember next time at Starbucks: demand synthetic!

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dimanche 11 mars 2012

Ce médicament contre la calvitie qui rend les hommes impuissants - Le Point

Révélés par "Le Parisien", les effets du Propecia sur la libido seraient "parfaitement connus" et "réversibles", selon l'Afssaps.

Le traitement était prescrit à 32 000 Français en 2010.

Le traitement était prescrit à 32 000 Français en 2010. © Bep/Le Dauphiné libéré / Maxppp

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jeudi 8 mars 2012

La pilule qui rend moins raciste | LeFigaro.fr

Des chercheurs de l'université d'Oxford ont découvert qu'un médicament couramment utilisé pour abaisser le rythme cardiaque réduit le racisme inconscient.

La prise d'un médicament courant utilisé pour lutter contre l'hypertension a un effet secondaire inattendu: il rend moins raciste. Des chercheurs de l'université d'Oxford en Grande-Bretagne se sont rendu compte que les personnes qui avaient pris du propranolol, un médicament connu en France sous le nom Avlocardyl, avait un score «significativement moins élevé» à un test sur les préjugés racistes inconscients, par rapport au groupe témoin qui avait pris un placebo. Le produit chimique n'a en revanche pas modifié l'attitude consciente des sujets sur le racisme.

Le propranolol est un médicament de la classe des bêtabloquants, utilisé pour lutter contre l'hypertension, et dont l'effet principal est de réduire le rythme cardiaque. Il sert aussi à réduire les effets physiques de l'anxiété. Son action se fait sur une partie du cerveau liée aux émotions, dont le sentiment de peur.

L'étude a été réalisée sur un panel assez restreint, avec seulement «36 hommes d'origine ethnique blanche», mais les résultats sont tout de même troublants et ouvrent la porte à de nombreuses questions éthiques. «Certaines personnes se demandent déjà s'il faudrait utiliser ce médicament pour soigner le racisme», regrette Sylvia Terbeck, la chercheuse du département de psychologie expérimentale de l'université d'Oxford qui a réalisé les recherches, publiées dans la revue Psychopharmacology.

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mardi 6 mars 2012

Radioactivite : Césium 137

Le césium-137 est un élément radioactif dont la durée de vie est considérée comme moyenne. Sa période est de 30,15 ans. Cet isotope du césium est un émetteur de rayons bêta et gamma. Il est produit avec une relative abondance dans les réactions de fission. L'attention prêtée au césium-137 tient au fait qu'à l'échelle d'une centaine d'années, il constitue la principale source de radioactivité des déchets des réacteurs nucléaires avec le strontium-90 et les isotopes du plutonium.

Pour la gestion des déchets radioactifs, les deux principaux produits de fission dits à vie moyenne sont en effet le césium-137 et le strontium-90. Ces deux noyaux sont produits à raison de 24 et 10 kg par an dans le combustible usé d'un réacteur REP à eau pressurisée conventionnel.

Dans l'industrie, le césium-137 est un peu utilisé pour ses rayons gamma de 600 keV, mais on lui préfère généralement des sources de cobalt.



Césium et chaîne alimentaire
Le césium-137 est la principale source de contamination de la chaîne alimentaire due aux essais nucléaires et à l'accident de Tchernobyl. Peu mobile, il s'enfonce lentement dans le sol. La contamination se fait d'abord par les feuilles, puis les racines. Ce sont aujourd'hui les champignons - à cause du mycélium - et le gibier qui sont les plus contaminés. Cette contamination est très variable : de 15 à 5000 Bq/kg pour les champignons et jusqu'à 5000 Bq/kg pour le gibier. Cependant, pour être exposé à une dose efficace annuelle de 1mSv, il faudrait vivre en forêt et se nourrir quotidiennement de produits des bois.
IRSN/dessin : Martine Beugin

Le césium des essais nucléaires et des accidents de réacteurs

Le césium-137 a été répandu sur terre lors des essais dans l'atmosphère des armes atomiques. Cet isotope contribuait dans les années 60 entre 1 et 4 % de la radioactivité naturelle du corps humain. Elle a beaucoup décru depuis, davantage du fait de la dispersion, de la fixation dans le sol que du temps écoulé.

Le césium-137 est également un des principales sources de contamination radioactive lors des accidents de réacteurs. Il est un sujet de préoccupation car sa durée de vie est longue et il voyage aisément à travers la chaîne alimentaire tout en continuant à émettre ses rayonnements. Des atomes de césium participent au cycle végétal, entrant dans les plantes par les racines et retournant à la terre quand la plante meurt.

Lors de l'accident de Tchernobyl, une quantité importante de cet isotope a été disséminée. Toutefois, les analyses récentes montrent que le niveau de césium dans l'atmosphère est retombé depuis 1995 au-dessous de ce qu'il était avant l'accident en 1986, même si 15 ans après du césium-137 était encore détectable chez des sangliers sauvages de Croatie et des rennes de Norvège.

Dans l'environnement, le césium est beaucoup moins mobile par exemple que l'iode. Lors d'un accident, généralement emporté par de la vapeur d'eau, il se dépose au sol avec la pluie. Fixé par des minéraux, il reste en surface du sol. Proche chimiquement du potassium, il se retrouve notamment dans la litière des forêts après avoir été intercepté par le feuillage. Le mycélium, partie vivace des champignons qui se développe à quelques centimètres sous la surface du sol, piège le césium (comme il piège, par ailleurs, les pesticides). Il peut se concentrer dans la chaîne alimentaire, par exemple dans la chair des poissons ou du gibier. Les milieux argileux sont efficaces pour fixer le césium.



Evolution du Césium-137 dans le corps humain
L'activité du césium-137 dans le corps humain a été mesurée aux environs du laboratoire de Mol, dans le nord de la Belgique, depuis près d'un demi-siècle. Bien que ce laboratoire soit éloigné des pas de tirs des essais nucléaires et de Tchernobyl, on observe très bien le pic d'activité dû à ces essais et celui, environ 4 fois moindre, de Tchernobyl. Dans les deux cas,la décroissance du césium-137 dans le corps humain est beaucoup plus rapide que la décroissance radioactive naturelle dont la période est de 30 ans. Bien que le césium s'enfonce lentement dans le sol, la décroissance rapide de l'activité absorbée par le corps humain rend superflu en Belgique une décontamination de la surface du sol, par exemple par un traitement au bleu de Prusse.(Source Jean Louis Genicot)
SCK-GEN

Effets sanitaires - Absorbé par l'homme, le césium se répartit dans les muscles. Sa période biologique est de 100 jours, laps de temps au bout duquel il est éliminé de l'organisme. Cette élimination relativement rapide téduit sa nocivité. Elle signifie qu'un noyau de césium-137 seulement sur 160 absorbés se désintègre dans le corps humain.

La communauté scientifique internationale s’accorde à dire que le césium se diffuse de manière homogène dans la masse musculaire. Cependant, selon des études de médecins chercheurs russes sur les suites de l'accident de Tchernobyl, le césium aurait tendance à se concentrer dans le muscle cardiaque et il pourrait y avoir un lien entre le césium-137 et des pathologies cardiaques, comme des arythmies. Contrairement à l’iode qui se fixe naturellement sur la thyroïde, rien ne prédispose pourtant à une telle concentration sur ce muscle particulier.

Bien qu'un tel lien soit improbable, la question est importante. Pour en avoir le coeur net, une étude a été lancée en mai 2009, par l’IRSN et des hôpitaux de Briansk - une des régions les plus contaminées par l’accident - pour savoir si cet effet du césium-137 existe. La réponse est attendue vers 2013-2014.

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vendredi 2 mars 2012

La combustion humaine spontanée, sujet brûlant - LeMonde.fr

La lecture d'articles médicaux peut parfois susciter le même sentiment d'étrangeté et d'épouvante qu'un épisode de "X-Files", de "Bones" ou des "Experts". Des médecins finnois signent dans le Journal of Burn Care & Research une troublante publication, mise en ligne le 22 janvier, intitulée : "La combustion humaine spontanée à la lumière du XXIe siècle".

Ce phénomène rare, abordé par Dickens (Bleak House, 1853) et Zola (Le Docteur Pascal, 1893) bien avant les scénaristes des séries américaines, est évoqué lorsque certaines parties du corps sont retrouvées réduites en cendres alors que d'autres sont préservées. Malgré l'absence d'une source de chaleur évidente à proximité du cadavre, il ne reste souvent rien du thorax, de l'abdomen et du bassin, tandis que la tête, les bras, les mains, la partie basse des jambes et les pieds sont largement indemnes, les chaussettes et les chaussures pouvant rester en parfait état ! Curieusement, l'environnement immédiat de la victime calcinée est quasiment intact. Surtout, il n'existe aucun signe d'agression ou de mise en scène d'un acte criminel.

Les docteurs Virve Koljonen et Nicolas Kluger, de l'université d'Helsinki ont recensé les articles parus ces onze dernières années sur la combustion humaine spontanée. Ils ont sélectionné et analysé cinq publications relatant 12 cas dont la majorité en France. Les victimes, souvent des fumeurs et des alcooliques, étaient âgées de 44 à 74 ans. Huit d'entre elles étaient des femmes. Un des 12 cas, survenu en Auvergne, a été publié dans le Journal of Forensic Sciences, en septembre 2011, par le professeur Gérald Quatrehomme, responsable du laboratoire de médecine légale et d'anthropologie médico-légale de l'université de Nice.

"COMME UNE BOUGIE"

Il s'agissait d'un homme de 57 ans, vivant seul, fumeur et alcoolique, se chauffant avec un poêle à bois. Ce qui restait du corps gisait près d'une pile de journaux à peine jaunis, d'une chaise de paille en parfait état et de bouteilles en plastique légèrement déformées. Les murs et le mobilier étaient recouverts de suie. De la graisse humaine liquide se trouvait près du corps calciné. Le taux d'alcoolémie de la victime était de 3,2 g/l. L'absence de suie dans les bronches à l'autopsie indique que l'homme n'avait pas inhalé de fumée, donc qu'il était déjà mort quand la combustion s'est déclarée.

De plus, contrairement à ce que l'on observe en cas d'intoxication par inhalation de fumée dans un incendie, aucune trace de carboxyhémoglobine dans le sang n'a été mise en évidence. "Le processus d'autocombustion survient généralement après le décès. Plus rarement, il débute lorsque la victime est encore vivante. On retrouve alors de la suie dans la trachée à l'autopsie, et une concentration sanguine significative de carboxyhémoglobine et de cyanure", ajoute le professeur Quatrehomme. Dans ce cas, "un handicap ou une alcoolémie élevée empêche la personne de fuir, d'appeler les secours ou d'éteindre le feu". L'autopsie ou les antécédents médicaux de la victime conduisent le légiste à conclure, sans certitude, que la mort est due à une crise cardiaque, une crise d'épilepsie ou encore à un accident vasculaire cérébral.

Selon le docteur Cristian Palmiere, du Centre universitaire romand de médecine légale de Genève, "tout se passe comme si le corps brûlait comme une bougie, la graisse humaine étant la cire tandis que les vêtements enflammés et imbibés de graisse servent de mèche. Ayant pris feu, les vêtements brûlent la peau qui, une fois carbonisée, se fissure. La graisse sous-cutanée s'écoule alors, entretenant le long processus de combustion. Elle ne brûle que lorsque sa température atteint au moins 250 °C". Les parties du corps les plus calcinées sont celles qui renferment d'abondantes quantités de graisse.

En définitive, la combustion humaine ne frappe pas au hasard et surtout n'a rien de spontané. Elle suppose l'existence d'une source de chaleur extérieure, même si cette dernière, dans le cas d'une cigarette ou d'un cigare, peut disparaître lors de la carbonisation du corps, ce qui ajoute un peu plus au mystère. C'est l'extinction de la combustion qui survient de manière spontanée, au moment où la graisse vient à manquer.

A ce jour, reconnaît le professeur Quatrehomme, "il est encore difficile d'expliquer comment se produit l'ouverture cutanée par laquelle s'écoule la graisse humaine. Nous manquons peut-être de travaux expérimentaux pour démontrer la théorie de l'"effet mèche"". Sans doute aussi de volontaires pour donner leur corps à la science.

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jeudi 1 mars 2012

Cancer du sein: un scandale français? | Slate

Deux systèmes de dépistage coexistent depuis huit ans: l’un «organisé», l’autre «individuel». On vient officiellement de démontrer que le premier est à la fois efficace et peu coûteux. Le second est nettement moins efficace et plus cher. Conclusion: on ne touche à rien. Pourquoi?

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