lundi 28 février 2011

Combien de Mon Chéri faut-il manger pour être ivre? | Slate

Combien de Mon Chéri faut-il manger pour être ivre? La question peut paraître surprenante, mais plusieurs internautes se la sont déjà posée, notamment sur Twitter. «Les statistiques et des études poussées ont fais ressortir que l’absorption de deux petit mon chéri de rien du tout faisait apparaître 0.8 gramme d’alcool par litre dans le sang» peut-on également lire sur un forum Internet. Est-il  vraiment possible de dépasser la limite d’alcoolémie autorisée au volant, qui est en Francede 0,5 g par litre de sang, après quelques chocolats à la liqueur?

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vendredi 18 février 2011

Synthetic ozonide drug candidate OZ439 offers new hope for a single-dose cure of uncomplicated malaria | MMV

SCIENTIFIC ARTICLE / REPORT
February 2011
An article in Proceedings of the National Academy of Sciences co-authored by Ian Bathurst

Ozonide OZ439 is a synthetic peroxide antimalarial drug candidate designed to provide a single-dose oral cure in humans. OZ439 has successfully completed Phase I clinical trials, where it was shown to be safe at doses up to 1,600 mg and is currently undergoing Phase IIa trials in malaria patients. Herein, we describe the discovery of OZ439 and the exceptional antimalarial and pharmacokinetic properties that led to its selection as a clinical drug development candidate. In vitro, OZ439 is fast-acting against all asexual erythrocytic Plasmodium falciparum stages with IC50 values comparable to those for the clinically used artemisinin derivatives. Unlike all other synthetic peroxides and semisynthetic artemisinin derivatives, OZ439 completely cures Plasmodium berghei-infected mice with a single oral dose of 20 mg/kg and exhibits prophylactic activity superior to that of the benchmark chemoprophylactic agent, mefloquine. Compared with other peroxide-containing antimalarial agents, such as the artemisinin derivatives and the first-generation ozonide OZ277, OZ439 exhibits a substantial increase in the pharmacokinetic half-life and blood concentration versus time profile in three preclinical species. The outstanding efficacy and prolonged blood concentrations of OZ439 are the result of a design strategy that stabilizes the intrinsically unstable pharmacophoric peroxide bond, thereby reducing clearance yet maintaining the necessary Fe (II)-reactivity to elicit parasite death.

Un ozonide stable, une jolie réussite....

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Controverse en Angleterre sur l’utilité du Botox utilisé dans la migraine, selon la BBC | Pharmactua

Controverse en Angleterre sur l’utilité du utilisé dans la migraine, selon la BBC. Selon la BBC une injection de pour traiter une aurait un cout de 276 livres sterling ou 446 dollars. Malgré une étude clinique réalisée sur 1300 souffrant de ayant permis l’enregistrement du dans cette indication, les experts de la revue remettent en cause la sélection des patients dans l’étude, notamment sur la pose du diagnostique .

 Les experts pointent aussi qu’un patient sur 10 ayant une injection de voit une aggravation de sa migraine et le taux des effets secondaires serait dans les mêmes proportions.

 D’autres experts ne partagent pas cette position, notamment Lee Tomkins, Directeur de Migraine Action pense que les malades ont besoin d’alternatives thérapeutiques pour cette pathologie très invalidante.

du groupe a réalisé 1,3 milliards de dollars en 2010 et l’extension d’indication dans la devrait permettre d’ajouter 1 milliard de dollars. Par Guy Macy d’après la BBC, et une analyse Pharmactua

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Les médicaments à base de buflomédil retirés du marché - CareVox

L’Afssaps suspend l’autorisation de mise sur le marché du buflomédil, six semaines après la demande de son retrait par la revue indépendante Prescrire qui, le 4 janvier dernier, avait jugé le produit susceptible de causer des « effets indésirables neurologiques et cardiaques, parfois mortels ».

En attendant la réforme de la pharmacovigilance annoncée par le ministre de la Santé Xavier Bertrand, les polémiques entourant les médicaments se succèdent. Dans le siphon du scandale du Médiator et de la publication d’une liste de 77 médicaments potentiellement dangereux, voilà que l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps) s’intéresse de très près au Buflomédil. Le gendarme du médicament estime que ce produit aux effets thérapeutiques présente de réels dangers pour la santé, et plus précisément des « risques d’effets indésirables graves neurologiques et cardiaques ». Une suspension de l’autorisation de mise sur le marché a par conséquent été décidée pour 17 médicaments contenant du buflomédil, le vasodilatateur et le Fonzylane.

Selon l’Afssaps le buflomédil, qui était commercialisé en France depuis 1974, aurait été responsable de convulsions, de cas d’hypotension, de crises d’épilepsie et de troubles (voire d’arrêts) cardiaques. Les lots de buflomédil présents sur le marché ont été rappelés, et l’agence a demandé aux médecins de ne plus prescrire les médicaments concernés. Les pharmaciens sont invités à ne plus en délivrer, et les patients sont encouragés à se tourner vers des alternatives de prise en charge thérapeutiques.

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Médicament: la balance commerciale atteint un niveau record en 2010

Un remède contre la calvitie a été découvert

Avis à tous ceux que la calvitie menace! Des chercheurs américains ont peut-être découvert un remède pour faire repousser les poils perdus.

Les progrès scientifiques sont parfois le fruit du hasard et les expériences menées par les chercheurs peuvent donner des résultats étonnants qui permettent d'explorer de nouvelles pistes. C'est le cas des scientifiques de l'Université de Californie à Los Angeles. Alors qu'une équipe de professeurs étudient les conséquences du stress au niveau du système digestif des souris, ils mettent au point un remède favorisant la repousse des poils.

Les scientifiques ont utilisé des souris génétiquement modifiées produisant en grande quantité une hormone de stress, appelée la corticotrope ou CRF. Après quelques temps, les cobayes perdent leurs poils sur tout le haut du dos. Les chercheurs administrent donc aux souris une substance chimique, l'astressin-B, censées bloquer l'hormone de stress. Au bout de trois mois, grande surprise: les souris ont retrouvé leurs poils!

Une découverte qui pourrait 'déboucher sur de nouvelles approches pour traiter la calvitie chez les humains en neutralisant les récepteurs d'une hormone jouant un rôle clef dans le stress' affirme le Dr Million Mulugeta. Ce traitement de courte durée constitue un espoir pour tous ceux que la perte de cheveux angoisse mais il va falloir attendre quelques temps avant que le remède ne soit réellement produit, une série de tests doit tout de même confirmer cette probable avancée scientifique.

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Les Français parmi les plus gros consommateurs d'alcool au monde - Libération

(Cliquez sur les images pour les agrandir)

Les pays qui consomment le plus (selon la figure ci-dessus) sont la Russie, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et l'Europe de l'Est avec plus de 12,5 litres d'alcool pur par an et par personne, soir l'équivalent de 500 pintes de bière à 5%. Juste derrière, on retrouve le reste de l'Europe, l’Argentine et l’Australie, avec plus de 10 litres.

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jeudi 17 février 2011

L'excuse était dans le bidon - Libération

Médicaments pour le chien, produits pour agrandir son pénis ou encore trop de relations sexuelles avec sa femme: Contador n'est pas le premier à avoir trouvé une excuse peu crédible.

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Recherche made in USA

Sanofi-Aventis a enfin réussi à trouver son ticket d'entrée sur la grande scène de la biotechnologie américaine. Mais évidemment, comme il ne restait pratiquement plus de place, le groupe a dû vider son portefeuille. Genzyme est une « grosse PME » d'un peu plus de 10.000 personnes et de 4 milliards de dollars de revenu. Pour mettre dans sa poche cette société dix fois plus petite que lui, le français va payer plus de 20 milliards de dollars, soit cinq fois son chiffre d'affaires. Il n'y a que dans l'Internet que l'on peut trouver des ratios aussi stupéfiants !

A cela, deux raisons : la cible vaut surtout par l'excellence de sa recherche et sa rareté. Il n'existe pratiquement plus sur le marché de grandes sociétés de biotechnologie à vendre. Elle ont toutes basculé dans le camp des « big pharma », à l'exception d'Amgen, seule société du secteur à être devenue elle-même un géant.

Au final, ce ne sont donc pas les innovateurs qui sortent gagnants de la bataille. Voilà le paradoxe de l'innovation pharmaceutique moderne. Les grands laboratoires, mangés par leur technostructure, paralysés par l'exigence des autorités sanitaires et la peur des patients, sont en panne d'innovation. Les grandes découvertes médicamenteuses sont derrière eux et les copieurs fabricants de génériques devant. Aucun d'entre eux n'a pu susciter en interne de grande rupture technologique. Celle-ci est venue des universités américaines avec la biotechnologie, fondamentalement différente de la chimie des pharmaciens.

Et pourtant, à la différence de l'informatique, cette révolution américaine retombe finalement dans les bras des acteurs en place. L'explication est simple : les coûts de développement, tests et marketing, des médicaments sont devenus tellement élevés qu'ils constituent une barrière infranchissable pour les nouveaux entrants et ont même conduit les grands laboratoires à fusionner pour grossir encore. Est-ce pour autant une défaite de la politique industrielle américaine, qui a déversé des centaines de milliards de dollars dans la recherche pour voir ses fleurons achetés par des Français, des Suisses ou des Britanniques ? Sanofi nous apporte la réponse. Un prix d'achat faramineux et la promesse d'un développement bien plus important du site de Boston que ce qu'il ne fera jamais en France. Plus des trois quarts de la recherche médicale mondiale s'installeraient désormais à côté des universités américaines. Le capital intellectuel ne se délocalise pas si facilement. L'esprit d'entreprise non plus.

Conclusion : la France (mais également l'Europe) est larguée.

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lundi 14 février 2011

Un petit-déjeuner copieux n'aide pas à maigrir

Prendre un gros petit-déjeuner n'implique pas que l'on mangera moins au déjeuner et au dîner.

François Savatier

Quand on veut maigrir, vaut-il mieux bien manger le matin, plutôt peu, ou pas du tout ? Pour le savoir, Volker Schusdziarra et des collègues du Centre Fresenius Else Kröner pour la médecine nutritionnelle à Munich ont suivi pendant 15 jours le contenu calorique de tous les repas de 280 personnes obèses et 100 personnes de poids normal. Ils ont constaté que ceux qui prennent un « gros petit-déjeuner » ont, sur l'ensemble de la journée, une prise calorique moyenne supérieure de quelque 400 kilocalories par rapport à la prise moyenne dans l'échantillon étudié (l'apport calorique journalier conseillé varie de 2 000 à 2 500 kilocalories selon le poids et l'âge). En d'autres termes, un petit déjeuner copieux n'entraîne pas un déjeuner et un dîner plus légers.

Or une étude antérieure, réalisée en 2004 par John de Castro, de l'Université du Texas à El Paso, avait accrédité l'idée contraire. Pour comprendre pourquoi, l'équipe de V. Schusdziarra a examiné de près la méthodologie de cette étude passée et relevé une différence majeure. Au lieu de raisonner à partir du seul apport calorique journalier moyen, J. de Castro se fondait sur le rapport entre l'apport calorique moyen du petit-déjeuner (mp) et l'apport calorique moyen de la journée (mj). Dans les groupes de personnes dont il avait surveillé l'alimentation, il avait constaté une corrélation entre une prise calorique journalière mj réduite et une valeur élevée de ce rapport mp/mj, ce qui suggérait que la prise d'un petit-déjeuner copieux (et donc un rapport mp/mj élevé) tend à réduire la prise calorique journalière.

L'équipe de V. Schusdziarra a appliqué la méthodologie de l'étude passée à son propre échantillon. Elle a alors constaté que la sous-population des gros mangeurs au petit-déjeuner (mp élevé) contribue très peu à l'augmentation du rapport mp/mj moyen de l'échantillon, tandis que la sous-population des personnes qui mangent peu pendant la journée (mj faible) y contribue beaucoup. En d'autres termes, statistiquement, les petits apports mj des personnes qui mangent moins dans la journée contribuent plus à élever le rapport mp/mj moyen que les apports mp élevés des gros mangeurs au petit-déjeuner. De cela, V. Schusdziarra et ses collègues déduisent que ce n'est ni le caractère copieux du petit-déjeuner, ni la répartition de la prise alimentaire au cours de la journée qui déterminent l'importance de l'apport calorique quotidien.

Il n'y a pas de secret : pour maigrir, il faut moins manger – matin, midi et soir !

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mercredi 9 février 2011

Naissance du premier “bébé-médicament” en France MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé

Alors que se tient le débat sur la révision de la Loi de Bioéthique, le diagnostic génétique pré-implantatoire a permis, pour cette famille dont les deux premiers enfants sont atteints d’une maladie génétique grave et invalidante (beta-thalassémie), d’obtenir la naissance d’un enfant sain ayant un groupe tissulaire compatible (HLA). Son sang de cordon a été conservé afin d’être greffé dans un proche avenir à l’un des aînés malade.

Umut-Talha qui signifie en turc « notre espoir », enfant de sexe masculin pesant 3 650g, est né le 26 janvier 2011 à l’hôpital Antoine Béclère (AP-HP). Il est aujourd’hui en très bonne santé.

La loi de bioéthique de 2004 et le décret 2006 autorisent cette pratique après accord de l’Agence de Biomédecine. Sept transferts DPI et recherche du groupe HLA ont eu lieu dans le cadre de la collaboration Béclère-Necker (seul des 3 centres français à prendre en charge cette situation), donnant 3 grossesses et cette première naissance HLA compatible.

Cette naissance est le fruit de la collaboration des équipes médicales et biologiques de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris : celles de l’hôpital Necker (Pr A. Munnich, et Dr J. Stephann, Dr N. Gigarel, Dr Ph. Burlet, Dr J.P. Bonnefond et Pr M. Vekemans) et celles de l’hôpital Antoine Béclère (Dr N. Achour-Frydman, Dr L. Hesters, Dr F. Lamazou, Mme V. Kerbrat et Pr R. Fanchin), au sein des Universités Paris Descartes (Paris V) et Paris Sud (Paris XI).

Source : AP-HP

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lundi 7 février 2011

Jacques Attali prône l'interdiction du tabac

«Bien pire que le Médiator: Le tabac». L’intitulé du billet de Jacques Attali, publié ce lundi sur son blog, est sans équivoque: l’économiste prône une interdiction de tous les produits tabagiques, au même titre que le médicament des laboratoires Servier.

L’ancien conseiller de François Mitterrand s’en prend à ce «produit totalement inutile, à la nocivité aujourd’hui avérée, consommé chaque jour par 1,3 milliard de personnes dans le monde et qui fait chaque année 5 millions de morts, soit plus que le sida et le paludisme réunis».

Un enjeu pour 2012?

La solution pour mettre fin à ce fléau qui «a tué 100 millions de personnes au 20e siècle» et «en tuera un milliard au 21e siècle»?  Elle est simple: «Il faut interdire la production, la distribution et la consommation de tabac», préconise l’ex-président de la Commission pour la libération de la croissance. Certes, «on remettrait en cause quelques emplois, les Etats perdraient quelques recettes» et «on encouragerait pour un temps le marché noir» mais «on gagnerait en qualité et en espérance de vie».

Selon Jacques Attali, «c’est aujourd’hui un combat d’évidence», qui n’est pas soulevé par les politiques car «il rapporte beaucoup d’argent aux Etats». «J’attendrai avec intérêt la réponse des candidats à l’élection présidentielle à cette question simple : "allez vous interdire le tabac"?», concut-il.

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vendredi 4 février 2011

Médicaments à risques : la liste « noire » fait polémique MyPharma Editions | L'Info Industrie & Politique de Santé

On ne fait pas de bonne politique avec de bonnes intentions. Une fois de plus, l’adage se vérifie dans la publication, par l’Afssaps, de la liste des 77 médicaments « à risques ». Des voix autorisées s’élèvent contre cette démarche pour le moins brutale qui a pour principal défaut de placer les prescripteurs -les médecins- dans une position inconfortable : que peuvent-ils en effet répondre aux patients à qui ils ont prescrit pendant plusieurs années des spécialités aujourd’hui considérées comme « à risques » ?

 Une fois encore, les médecins se trouvent démunis et un peu seuls face à une décision certes inspirée des meilleurs intentions mais « vendue » si l’on peut dire de la plus calamiteuse façon. A l’évidence, on n’a donc tenu aucun compte des leçons pourtant cuisante de l’épisode des vaccinodrômes de la pandémie A/H1N1. Dans l’urgence et la précipitation médiatique, l’agence livre en pâture des produits qui, pour la plupart, n’avaient jusqu’alors pas suscité des critiques aussi lapidaires, notamment dans la description des effets secondaires. Dans de telles conditions, la prescription devient aujourd’hui un exploit que les médecins sont seuls à relever face à des patients dont le désarroi et le soupçon sont facilement compréhensibles.

A-t-on pour autant jeté le bébé avec l’eau du bain ? C’est en substance ce que déplorent les praticiens libéraux, relayés par certains experts comme le Pr Claude Le Pen qui n’hésite à se demander, dans les colonnes du « Quotidien du Médecin » à quoi peut bien servir une liste aussi hétéroclite qui doit singulièrement compliquer les usages du « colloque singulier », c’est-à-dire le dialogue entre le médecin et son patient.

Le moins que l’on puisse dire est que l’on n’en pas fini avec les dommages collatéraux du Mediator. Pour parvenir à résipiscence, les autorités de santé, et notamment l’Afssaps vivement critiquée dans le rapport de l’Igas du 15 janvier, n’ont pas mégoté. Au point qu’il a fallu rectifier le tir: selon les représentants de l’Afssaps et le Pr Didier Houssin, patron de la DGS, il ne s’agit pas de la liste noire des médicaments dangereux à retirer du marché. «C’est une garantie pour les patients» assure le Pr Houssin en expliquant qu’une surveillance renforcée permet de prendre des mesures adaptées. Concrètement, «cela ne doit en aucun cas conduire les patients à qui il a été prescrit un de ces médicaments à l’interrompre sans avoir préalablement pris conseil auprès de leur pharmacien et/ou consulté leur médecin» écrit l’Afssaps. Voilà un charabia aussi utile qu’un pansement sur une jambe de bois. S’est-on à un moment quelconque interrogé sur la réaction des patients qui sont désormais fondés à se demander si tous les médicaments ne sont pas des Mediator en puissance ? S’est-on, pour finir, interrogé sur le discours à tenir face à des patients désemparés ? Eh non… Il faut bien avouer que la liste des gaffes en matière de santé publique devient presque aussi longue que celle des 77 médicaments « à risques». On devrait du reste tenir un registre des bourdes à répétition : on arriverait sans doute à 77, et sans forcer.

 Hervé Karleskind

Encore du grand n'importe quoi !

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